Google Analytics, ou comment faire venir et revenir les clients sur votre site

Voici quelques temps qu’à l’agence web Nice RIACreation, nous nous posons des questions sur le géant Google. En tant qu’outil de travail, a fortiori quand on travaille sur internet, il nous sert principalement à rechercher des informations, l’orthographe d’un mot pour la rédaction, une nouveauté dans l’écriture d’un script pour le développement, un tuto pour le graphisme, etc. Mais la société de Mountain View fait tout pour être encore plus qu’un mode d’emploi universel. Nos clients faisant appel à nos services de création de site ou de référencement internet pour gagner de l’argent, nous nous devons de leur fournir les outils les plus efficaces. Google Analytics est l’un d’eux.

Le service d’analyse d’audience proposé par Google n’a pas vu le jour à Mountain View mais à San Diego, chez Urchin Software Corporation. Rachetée par le géant, Urchin a par la même cédé son principal atout, le logiciel Urchin. Celui-ci propose donc de rendre compte quotidiennement, hebdomadairement ou mensuellement du trafic qui transite par un site web. Du temps d’Urchin, cela coûtait 495 $, avec Google Analytics, c’est gratuit.

Les mots clef qu’a tapé l’internaute avant de cliquer sur votre site, combien de temps il y est resté, d’où il était connecté, tout ceci est collecté par quatre petits cookies lâchés par Google Analytics dès que l’utilisateur a ouvert votre page internet, si vous avez souscrit à l’offre. Avant de préciser le travail des cookies, restons un moment sur leurs fonctions. Ils vont chercher certains types d’informations :

  • Comment l’internaute arrive sur votre site : par un moteur de recherche, via une newsletter, par un site partenaire, en ayant tapé directement l’adresse, etc.
  • Quel chemin il parcourt sur votre site : quelles pages il consulte, le temps qu’il reste sur chacune, le chemin qu’il a suivi entre elles, etc.
  • Ce qu’il fait sur votre site : ce qu’il met dans le panier, ce qu’il enlève, ce qu’il achète finalement, ce qu’il met en favori, s’il commente, s’il remplit un formulaire d’inscription, s’il s’inscrit à la newsletter, s’il partage sur un réseau social (Facebook, Twitter, etc.)
  • Qui est votre visiteur : les coordonnées de connexions (pays, ville, adresse), la langue utilisée, etc.

Les cookies en question sont donc actifs dès que l’internaute arrive sur votre page utilisatrice de Google Analytics (sinon, ça ne marche pas). Tant que celui-ci est sur votre site, les cookies accomplissent leur mission de collecte, ils crawlent, un peu comme les Google bots dont on a parlé dans un article précédent, mais indépendamment d’eux. Une fois la page fermée, l’un d’eux s’arrête, puis le deuxième 30 minutes après, le troisième six mois après, le dernier reste actif deux ans.

Une fois les informations collectées, Google Analytics vous délivre des rapports. Un utilisateur bien informé peut désactiver les cookies, afin de naviguer sur le net sans être « fliqué » mais cela n’arrange pas les affaires des e-commerces. En effet, grâce aux informations collectées par ses cookies, Google Analytics peut vous expliquer quels mots-clef mènent à votre site plus facilement, et même quel profil d’internaute vient acheter à coup sûr. C’est ainsi que vous apprenez ce que les internautes ont recherché sur internet avant de tomber sur vous, soit qu’ils vous cherchaient, soit qu’ils cherchaient autre chose et sont tombé sur votre site. Et c’est ainsi que vous devez modifier votre campagne de référencement en fonction de ces données. En tant que spécialiste, notre équipe de référencement travaille chaque jour à améliorer les positions de nos clients avec les indications de logiciels tel que Google Analytics.

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