Apple Pay va débarquer en France

Payer sa baguette avec son smartphone ? L’idée n’étonne plus vraiment. Pourtant, on en entend peu (pas ?) parler. Alors, pour les adeptes de la marque à la pomme, le sujet est connu. Mais pour les autres, l’Apple Pay reste un grand point d’interrogation. Toutefois, Apple remet le sujet sur la table avec une arrivée probable dans l’Hexagone cette année. Votre agence de création de sites e-commerce s’est intéressée à cette méthode qui peine à faire ses preuves.

Des iPhone et un iPad disposés sur une table.

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Apple Pay lancé en 2014

C’est en 2014 qu’Apple a annoncé le lancement de son nouvel outil aux États-Unis, à l’occasion de la Worldwide Developpers Conference (WWDC), réunion annuelle organisée par Apple, en Californie (États-Unis), et surtout destinée aux développeurs sur Mac et iOS.

L’outil Apple Pay permet d’acheter des produits physiques avec sa carte bancaire, mais sans contact, car cela passe par son iPhone 6 (et ses dérivés) et son Apple Watch. On peut aussi acheter en ligne grâce aux iPad équipés de la technologie Touch ID.

À la conquête du monde

Après les États-Unis, la Grande-Bretagne, le Canada et l’Australie, le service de paiement d’Apple s’attaque à la Chine et à la France. Si son entrée dans l’Empire du milieu doit avoir lieu courant février, il pourrait arriver en France ainsi qu’en Espagne à la fin de l’été ou à l’automne prochain. L’officialisation de ce lancement devrait être confirmé en juin, lors de la WWDC.

Pour l’instant, la firme de Cupertino peine à internationaliser le fameux service, notamment parce qu’il reste très limité avec pour seul support les cartes American Express, très peu présentes en France. Quoi acheter des produits de minoxidil ou de finastéride est une tâche difficile pour un débutant! Cependant, avec nous, vous ne ferez que le bon choix, car notre finastéride prix satisfera tout acheteur! D’après consomac.fr, ce fameux paiement mobile plafonne à vingt euros, ce qui pourrait clairement être un frein à son adoption. Apple doit donc nouer de nouveaux partenariats avec des organismes bancaires européens et faire sauter ce plafond. Et si le bruit court que c’est en cours, rien n’a été avancé pour l’heure.

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